31 : la marque aladom est déposée

Publié le par Guillaume THOMAS

Quand j'ai commencé à travailler sur mon projet, j'ai rapidement cherché un nom.
C'est un exercice plutôt compliqué. Il y a d'ailleurs 3 notes intéressantes sur le blog d'inoveum.com ici, ici et ici.

Première contrainte : En ce qui me concerne, le coeur de mon business étant un site Internet, il fallait absolument que le .com associé au nom soit libre. Il fallait aussi qu'il n'y ait pas trop de bruit en faisant une recherche sur mon nom. Aujourd'hui sur google les premiers résultats sur aladom donne des pages qui me concernent, sauf quelques pages concernant des pseudos (comme aladominant un type qui habite en Alabama et qui à l'air de faire des choses pas très catholiques).

Deuxième contrainte : Je voulais aussi que le nom soit court (pour le retenir simplement) et qu'il commence par un a (pour être en haut des listes alphabétiques).

Troisième contrainte : Je voulais qu'il y ait un lien entre mon nom et ce que je propose. Je souhaite mettre en relation les particuliers autours des services à domicile. C'était donc bien qu'il y ait quelque chose comme 'dom' dans le nom. Ce qui ne laissait donc plus que deux lettres à trouver : a**dom... comme dans le jeu du pendu...
Alors j'ai pas mal utilisé whois.com...

Quatrième contrainte : Je voulais trouver un slogan à lier au nom. Et là j'ai été contant de trouver Aladom, le génie du service à domicile. Je trouve que ça sonne bien et qu'on peut en faire une marque facile à  retenir.

J'ai attendu d'être sur de vouloir aller plus loin avant de déposer le nom et de payer les 225 euros qui vont avec. J'ai rempli plusieurs fois un formulaire sur le site de l'INPI sans pour autant l'envoyer. Et puis j'ai décidé d'aller déposer le nom.
Ce matin, avant de me rendre à mon boulot, je me suis déplacé à l'antenne rennaise de l'INPI. Je souhaitais me rendre sur place car je voulais avoir la confirmation des classes à utiliser (il y a 45 classes et le tarif de base permet de déposer une marque dans 3 classes).

Il faut savoir qu'il n'y a pas de classe particulière pour un site Internet. J'ai pris ce qui s'en approche le plus (Classe 35 pour la gestion de fichiers informatiques et la publicité, et classe 38 pour les télécommunications).
Un des avantages de se déplacer dans un bureau de l'INPI est qu'on peut accéder gratuitement à la base qui permet de faire la recherche d'antériorité. Sur internet (Icimarques par exemple), c'est payant.

Donc voila, j'ai une marque. La prochaine étape est d'avoir un logo. Je compte pour cela utiliser Wilogo (il faut aider les star-up), mais je ferai ça fin Août, à mon retour de vacances...

En tout cas la démarche du dépôt de marque n'est pas anodine et elle m'a gonflé à bloc... 

Publié dans Création d'entreprise

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
G
Nous avons suivi les memes étapes, quasi en meme temps avec les mêmes contraintes. Attention sur les classes: elle doit décrire ton activité, pas uniquement ton site web. Pour les services, c'est un peu ténu mais on trouve
Répondre